Né en 1964, Daniel Jean est l’aîné d’une petite famille de la ville de Québec.

 

Son père, militaire de carrière et aventurier l’a fortement influencé. Daniel ayant été lui-même militaire, il se destinait à être par la suite correspondant de guerre.

 

Par un concours de circonstance qui lui échappe toujours à ce jours, il est plutôt devenu professeur de science. Entre-temps, Daniel a complété son diplôme de photographe professionnel avec le New York Institute of Photography.

 

Vers la quarantaine, il a commencé à parcourir le monde en compagnie de son épouse Mona. De l’Amérique du Sud à l’Europe, en passant par l’Asie du Sud-Est, Daniel a toujours été accompagné de son appareil-photo et le photojournaliste en lui n’a pas tardé à ressurgir.

 

De la mode au portrait en passant par la photographie commerciale, il n’y a pas grand chose qu’il n’aime pas photographier.

 

Toutefois, le photojournalisme, à cause de ces grandes possibilités d’impact sur et dans le monde, est ce que Daniel préfère. La cause du trafic sexuel des jeunes filles en Indonésie lui tient particulièrement à coeur. À un tel point que ce fut le sujet de son premier reportage photo.

 

Comme le photojournalisme est pour Daniel synonyme d’engagement social et humanitaire, il a d’ailleurs fondé un OSBL du nom de Talitha Koumi, afin de s’engager dans la lutte contre ce qu’il considère comme une des pire forme d’esclavage des temps modernes.